Description
Les grands thèmes musicaux de la Symphonie du Nouveau Monde sont connus de tous, particulièrement celui de son final et 4e mouvement. L’offrir en ouverture de concert, sous la baguette d’un jeune chef, c’est aussi l’inviter à découvrir un autre chef d’œuvre du compositeur tchèque, beaucoup moins connu dans notre pays.
Le Stabat Mater de Dvořák, par sa beauté, le nombre d’exécutants qu’il requiert et son déploiement dans le temps, s’inscrit parmi les monuments de la musique sacrée, à l’égal du Requiem de Verdi, de celui de Brahms, du Messie de Haendel ou des Passions de Bach !
Le poème évoque les souffrances de Marie au pied de la Croix.
De même que Pergolèse écrivit le sien alors que, âgé de 26 ans, il se savait condamné, ainsi l’ombre de la mort plane-t-elle sur celui de Dvorak, qui vit ses trois premiers-nés mourir de maladies et d'accidents durant les deux années de sa composition.
C’est précisément cette œuvre bouleversante, empreinte de sensibilité slave, qui le fit connaître dans les métropoles musicales d'Europe et d'Amérique : l'exécution dirigée par Dvořák à Londres en 1884 fut à l'origine des liens de sympathie unissant le compositeur tchèque et le monde anglo-saxon et qui sont à l’origine de la Symphonie du Nouveau Monde.
Les grands thèmes musicaux de la Symphonie du Nouveau Monde sont connus de tous, particulièrement celui de son final et 4e mouvement. L’offrir en ouverture de concert, sous la baguette d’un jeune chef, c’est aussi l’inviter à découvrir un autre chef d’œuvre du compositeur tchèque, beaucoup moins connu dans notre pays.
Le Stabat Mater de Dvořák, par sa beauté, le nombre d’exécutants qu’il requiert et son déploiement dans le temps, s’inscrit parmi les monuments de la musique sacrée, à l’égal du Requiem de Verdi, de celui de Brahms, du Messie de Haendel ou des Passions de Bach !
Le poème évoque les souffrances de Marie au pied de la Croix.
De même que Pergolèse écrivit le sien alors que, âgé de 26 ans, il se savait condamné, ainsi l’ombre de la mort plane-t-elle sur celui de Dvorak, qui vit ses trois premiers-nés mourir de maladies et d'accidents durant les deux années de sa composition.
C’est précisément cette œuvre bouleversante, empreinte de sensibilité slave, qui le fit connaître dans les métropoles musicales d'Europe et d'Amérique : l'exécution dirigée par Dvořák à Londres en 1884 fut à l'origine des liens de sympathie unissant le compositeur tchèque et le monde anglo-saxon et qui sont à l’origine de la Symphonie du Nouveau Monde.
Antonín Dvořák
Final de la Symphonie n°9, dite du Nouveau Monde
Stabat Mater (Prague, 1877)
Chœur d’Enfants et Jeune Chœur d’Ile-de-France
Chefs de Chœur Raphaëlle Boutillier et Pierre-Louis de Laporte
Orchestre Bel’Arte
Direction Richard Boudarham
Solistes Soprano, Mezzo, Ténor et Basse
Direction Francis Bardot (Stabat Mater) et Pierre-Louis de Laporte (Symphonie)
Durée : 1h40
Tarif : 15€ / 10€ TR